Un jean hérité de son grand-frère, qui a vu du paysage... les genoux usés et même troués. Impossible de se résoudre à ne plus le porter, mais des problèmes de courants d'air à la moindre sortie dans le froid. Alors, à quatre mains, nous lui avons redonné une seconde jeunesse ; choix du tissu, choix des formes, couture... et le jean est reparti pour au moins 15 ans !
Voilà Marie, ce qui est advenu d'un morceau de la housse de traversin !...
Mariaba me propose de réfléchir à trois choses qui, quotidiennement (ou presque) me font plaisir, et c'est très sympa de sa part de me faire songer à ce qu'il y a de bien ! ;-)
J'y ai beaucoup réfléchi, et le premier truc qui m'est venu est complètement débile : ça m'amuse de regarder les hommes qui font pipi derrière les arbres du square, en bas de l'immeuble (parce qu'ils sont gênés et regardent partout autour d'eux pour être sûrs que personne ne les voit - mais ils ne pensent pas à lever la tête !). Aussi, j'aime bien quand, dans ce même square, des élèves des collèges et lycées voisins viennent faire du sport : course, relais... de haut, avec Couacman, on commente, on cherche les élèves peu motivés... on imagine ce que ça fait de faire du sport dans un square plein de passants (qui des fois s'arrêtent pour admirer les performances sportives, comme nous). J'aime regarder Couacman partir, par la fenêtre. Je le regarde jusqu'à ce qu'il disparaisse au loin. Il marche super vite. Et, quand je sais qu'il ne devrait pas tarder à revenir, parfois, j'aime bien le guetter. Voilà ! Je passe le relais (hu hu) à Zelapin, Satsuki et Milky !
Et voilà l'élève le plus démotivé de l'activité "relais" de ce midi
Aujourd'hui, l'école nous a offert une journée avec une professionnelle du petit carnet (pour qu'ensuite, toutes nos maquettes soient bien finies). Elle nous a montré comment faire de beaux calepins du début à la fin, des cahiers de papier à la couverture en passant par la couture. C'était super ! Il est déjà prévu que je passe ma soirée à fabriquer un petit carnet de brouillon pour poser près de l'ordinateur... je sens que c'est ma nouvelle passion !
Aujourd'hui, nous avons trouvé un mignon fauteuil dans la rue (sous un amoncellement de poubelles, mais chut !) et nous avons entrepris de le monter jusque chez nous (au cinquième étage d'un immeuble à l'escalier étroit avec des plantes sur les marches et des poubelles sur les paliers), à pieds puisqu'il ne rentrait pas dans l'ascenceur. J'ai personnellement beaucoup souffert durant cette longue et lente ascencion (Couacman, lui, est arrivé en haut frais comme un gardon alors que j'étais en nage, au bord des larmes, avec des ampoules sur les doigts et les bras et le dos en compote) et une fois le truc chez nous, bah tiens c'est marrant, il avait l'air beaucoup plus énorme que dans la rue !... Même l'autre fauteuil semble minus à côté. Bref, va falloir faire du rangement et trouver une nouvelle utilisation pour les deux grosses chaises noires (et aussi le nettoyer, quand même).
J'hésite à demander cette paire de chaussures, pour Noël. Vous trouvez qu'elle irait bien avec les robes que je vous ai montrées dimanche dernier, et avec mes collants en laine ? Couacman n'est pas hyper enthousiaste. Au départ, j'en avais repéré environ cinq autres paires (et non pas celle-la) mais il n'y avait ma pointure pour aucune ! Qu'en pensez-vous ?
Edit : j'ai trouvé des images où elles sont marron !
Aujourd'hui, en grande fan que je suis d'Audrey Poussier, je me suis enfin offert un de ses livres, j'ai choisi Mon pull mais je pense qu'au fil du temps, tous se retrouveront à la maison, en famille. Je trouve ses histoires et dessins d'une telle justesse ! J'ai aussi acheté Je voulais une tortue de Béatrice Alemagna et Cristiano Mangione, parce que c'est un livre qui est de bonne humeur et qui partage sa joie de vivre alors pourquoi s'en priver ?
Je constate que chanter tous les tubes de Céline Dion à tue-tête sous la douche me met de fort bonne humeur (et ne me demandez pas comment ça se fait que je connaisse par coeur les tubes de Céline Dion, c'est un grand mystère pour moi aussi). Nous surplombons la jungle, j'ai mis une robe d'été ; c'est le bonheur !
Aujourd'hui, nous sommes allés à "City 2" (le Centre Coty de Bruxelles) dans un magasin de sport, nous équiper ; baskets et soutien-gorge de sport, tout pour faire des footings ! C'est que nous sommes hyper motivés pour aller courir. Couacman a trouvé des baskets assez facilement mais pour le soutien-gorge, il n'y avait que des tailles S, merci d'être aussi précis et de penser aux filles qui ont de la poitrine, qui ont AUSSI le droit d'aller courir ! Zut alors. Heureusement, à City 2, il y a Inno et là j'ai trouvé mon bonheur. Bref, dans les jours qui suivent va commencer notre entrainement intensif... En fait, Couacman courait réguilèrement quand nous étions au Havre, à la plage, c'est agréable et plus facile de s'y mettre... mais là... pas de plage, pas de footing. D'ailleurs, on ne sait pas encore trop où on va courir, on a bien quelques petites idées, il faut qu'on teste. Et moi, et bien c'est la pneumologue qui m'a dit qu'il fallait absolument que je fasse du sport, alors si elle le dit je le fais. Au départ, je pensais aller à la piscine mais en vrai, je ne sais pas nager alors je n'apprécie pas tellement.
Si tout se passe bien, les footings continueront après la rentrée scolaire. J'aimerais bien deux fois par semaine. Je suis en train de prendre des bonnes résolutions incroyables pour l'an prochain. Je fais des plans pour réussir à vivre ma vie malgré l'école, ça va être du tonnerre c'est moi qui vous le dis. Tout est déjà planifié dans ma tête, et ça m'apaise beaucoup. Ca me donnerait presque envie d'y être ! Je croise les doigts pour réussir à m'y tenir au moment venu...
Et voilà, ce matin, nous avons commencé notre cycle "footing"... Déjà, nous avons réussi à nous lever relativement tôt et à ne pas trainer et rien que pour ça je suis fière. Ensuite, pour ce qui est du footing en lui-même : j'ai couru cinq minutes et je n'arrivais plus du tout à respirer alors j'ai été obligée de m'arrêter et j'étais vexée comme un pou, j'avais même pas mal aux muscles. Au bout de cinq minutes de pause, je suis repartie pour cinq minutes en tentant de trouver mon rythme (les cinq premières minutes, je suivais Couacman qui court bien plus vite que moi) et ça a été beaucoup mieux. Je suis rentrée en nage et j'avais mal partout, bref, il était temps que je me remette au sport... Couacman, lui, ça ne lui a rien fait mais je suis sûre qu'il a triché. Du coup, en rentrant, j'ai cherché sur internet et je me suis déniché un programme pour débutants en footing et j'ai décidé de le suivre dès la prochaine fois. Je me rends compte que j'ai hâte de recommencer (j'ai très envie d'y arriver) mais il faut attendre mercredi matin ! Et sinon, pour ce qui est de l'endroit où nous avons couru ce matin, je ne suis pas total'convainc' puisque nous avons couru en rond et que ce n'est pas drôle du tout.
Sinon, au gouter, j'ai bu une menthe à l'eau au Fontainas avec une de mes copines de classe et c'était très chouette. Elle part en Inde à l'aube demain matin et comme elle n'avait pas trouvé dans les magasins de sac "besace" (plus pratique en voyage), et que j'en avais justement un sur moi, nous avons fait un petit échange. Mon sac va respirer l'air de Bombay ! Et c'était rigolo de sortir de la maison avec un sac à main et d'y rentrer avec un autre. Suzanne, si tu passes par là : bon voyage ! :-)
Aujourd'hui, nous avons trouvé cette mini-table rue de Flandre, et nous avons longuement hésité avant de l'inviter chez nous. Elle nous a tapé dans l'oeil mais ensuite, nous avons eu un doute : est-elle jolie et mignonne ou bien complètement moche et sans intérêt ? En attendant, elle nous est bien utile.
Coucou tout le monde ! Ca va ? Vous devez être en train de dîner, alors je vous souhaite un bon appétit. Vous mangez quoi ?
Cette semaine à l'école, un sujet : l'arbre. Ce matin, j'ai cousu vite fait ces deux machins qui ne vont me servir à rien mais j'aime bien.
Couacman nous prépare des plats thaïlandais régulièrement, le curry d'agneau massaman n'a plus de secret pour lui. Nous buvons du thé parfumé de gouttes de fleur d'oranger. Et aussi des ramos gin fizz.
J'apprends la tapisserie (ça vous en bouche un coin, non ?). Le résultat de ces exercices me fait grandement penser à l'écharpe rayée que j'avais tricotée au CE1.
J'ai acheté le dernier album de Thomas Fersen et je trouve cet homme déprimé. Je ne sais pas ce que vous en pensez mais je sens dans sa voix que quelque chose s'est passée dans sa vie.
Avant-hier, hier et aujourd'hui, je me suis maquillée.
Je continue de courir mais c'est de plus en plus dur : fatigue, froid et nuit me donnent envie de dormir une heure de plus, et non pas de me lever pour aller me secouer la paillasse. Je cours presque vingt minutes, maintenant, et ce deux fois par semaine. Je me demandais si je ne pouvais pas me limiter à un footing par semaine mais j'ai trop peur que ce soit un pacte avec la flemme générale. Vous en pensez quoi ?
Nous avons bien fait de ne pas acheter Tina, la planche à repasser car désormais, Couacman porte un tee-shirt (et non plus une chemise) au travail, et du coup, nous avons économisé vingt euros et nous évitons un encombrement supplémentaire.
J'aimerais que Couacmama crée une gamme de plats surgelés, pour que je puisse manger les mets trop bons qu'elle maitrise grave, même quand je suis ici : boeuf bourguignon, gratin moscovite, pommes de terre au lard, gnocchis à la romaine, sorbets...
Un midi, j'ai préparé des oeufs cuits dans le riz (recette couacmamatesque) pour mon petit Couacman affamé, et il a aimé.
La semaine dernière, je me suis offert Chagrin d'école, le dernier bouquin de Daniel Pennac, et en rentrant à la maison, j'ai lu le début à voix haute à Couacman qui faisait la vaisselle. Finalement, comme nous avons tout les deux accroché à ce début, je lui ai lu, un peu tous les soirs depuis mercredi dernier, le livre à voix haute. Chacun un fauteuil, chacun un plaid et ce livre pour nous deux. C'était super.
Je dis, à tous les gens qui attendent quelque chose de moi (comme par exemple des confitures, des nouvelles, des réponses à des tags...) : pardon, ma lenteur est excessive. Mais heureusement, j'ai bonne mémoire pour ce genre de trucs alors je n'oublie pas !
Dans notre appartement, nous avons un détecteur de fumée, qui est installé juste au-dessus de la porte de la salle de bains. En ce moment, il est particulièrement sensible et il se met à sonner pour un oui ou pour un non. Nous avons appelé le propriétaire qui nous a assuré que nous ne devions pas nous inquiéter, qu'il n'était pas directement relié à la caserne des pompiers.
Couacman continue de mettre son doigt devant sa bouche, comme ça, lorsqu'il parle de façon passionnée (et j'aime bien).
Dans deux mois pile, c'est mon anniversaire.
Quand le petit bossu va acheter du pain, il n'y va jamais sans son sac à main.
J'ai croisé le voisin du dessus dans un bar et il m'a fait la bise.
Catherine m'a passé le relais (merci !)! Excusez-moi d'avoir été un peu longuette. Il y a un site officiel de ce tricot de mots (et non de peau), ici. Voilà l'histoire...
Il était près de neuf heures lorsque Henri se gara sur le parking de la supérette d’Etretat. Une
fois le contact coupé, il resta encore un peu dans sa voiture, le temps
que la chanson qui se jouait à la radio et qui le mettait de si joyeuse
humeur se termine. Puis hop, dans un élan, il sortit. Ses
talons claquèrent en un bruit sec sur le macadam défoncé. Il huma
l'air, s'emplit les poumons. Plus haut les mouettes riaient déjà. Il
n'eut pas un regard pour les quelques clients qui attendaient
l'ouverture du magasin accoudés à leurs caddies. Il se dirigea d'un pas
guilleret vers l'arrière du bâtiment, dépassa un tas de palettes et
entreprit de traverser le terrain vague.
Bien
qu'il ait eu du mal à prendre sa décision, il était maintenant très
heureux, soulagé, même, et ne pensait plus qu'à cette mission qu'il
s'était fixé, espérant de tout coeur que les résultats seraient à la
hauteur de son attente. Il arriva bientôt à l'extrémité du village, et
s'arrêta un instant, émerveillé comme à chaque fois par la vision de la
mer et du paysage grandiose qui s'étendait face à lui. Alors,
oubliant une seconde qu'il était attendu à neuf heures et huit
battements de coeur précisément ! Une phrase de son ami Robert Sabatier
lui monta à la gorge : " Si je pouvais écrire avec des algues, toute la
mer tiendrait dans un seul mot. " Son
regard fixait la mer. S'accordant un peu de temps, son esprit se
reposait au creux des vagues. Il ne voulait rien précipiter. Mais les
minutes s'écoulaient. Il salua la mer et s'en alla au rythme du vent, quand
tout à coup, au détour d’une pensée, il se retrouva les quatre fers en
l’air ! Choc aussi violent qu’ inattendu. Mille couleurs se
précipitaient dans ses yeux. Des
étoiles dans la tête, sonné, hagard, Henri tenta de se redresser. Il
avait beau se concentrer, rien ne lui indiquait ce qu’il faisait là,
allongé au sol, la caresse du vent pour seule compagne.
Il vit des visages déformés se pencher, ils ressemblaient aux gargouilles de la cathédrale. Corps inerte,
les figures fantasmagoriques se multipliaient au-dessus de lui,
obscurcissant le ciel. Les odeurs iodées se mélangeaient aux effluves
nauséabonds de la mort.
Il
lui sembla entendre une voix, puis deux, mais il ne parvenait pas à
saisir ce qu'elles disaient. Emergeant peu à peu de son brouillard, il
distingua plus précisément les visages penchés sur lui. Et c'est avec
stupeur qu'il la reconnut.
Elle
n'avait pas changé. Malgré le soleil dans ses yeux et ces visages
au-dessus de lui qui s'approchaient comme des hyènes autour d'un
cadavre et la dérobaient par instants à son regard vacillant il savait
que c'était elle. Comment oublier ce visage ? Comment avait-il pu
croire que tout était fini ? oublié ? Il se redressa sans peine, prêt à
l'affronter enfin.
Lorsqu'il
fut bien campé sur ses deux pieds, Henri serra les poings, mobilisa
toute son énergie, paré à l'affrontement, et eut tout à coup
l'impression que sa volonté et son courage s'en trouvaient décuplés.
Que n'avait-il souhaité qu'un tel élan l'emporte, toutes ces fois où il
s'était senti si misérable, si pathétique face à cette femme... Mais
rien, jamais, n'était venu le galvaniser comme aujourd'hui. Tandis qu' ici, et maintenant, plus de vingt ans après les événements, on allait voir, enfin!, qui était le plus fort. Il ne pouvait pas en être autrement, foi d'Henri !
Pourtant,
ce n'était pas ce qu'il avait prévu pour aujourd'hui... Rien n'aurait
dû se passer comme ça, il était de bonne humeur ce matin ! Pourquoi
fallait-il toujours qu'elle surgisse sans crier gare, comme si elle
prenait un malin plaisir à toujours tout gâcher ? Déjà, alors qu'il
était petit, elle avait le don de mettre fin à ses rêves... Il leva le
poing et ce simple geste lui remit immédiatement en
mémoire l'invraisemblable, l'irrémédiable - Pas encore mortifié,
surtout enivré par la quantité d'adrénaline qui circulait encore dans
ses veines, qui lui avait valu cet évanouissement - cette petite mort -
qui lui avait aussi permis de passer à l'acte, puis de conduire d'une
traite de Toulon à Etretat, d'un port à l'autre, d'une mer à l'autre. Pour la retrouver là. Ses
idées étaient claires maintenant, et il n’allait certainement pas tout
gâcher avec une bagarre de terrain vague. Il avait un autre programme.
«Suis moi» . C’était tout, sauf une invitation à une randonnée pédestre
sur la falaise. Curieusement, il n’eut pas besoin de lui prendre le
bras pour la faire monter sa voiture. «On va dire bonjour à René, ça
fait longtemps.» La route était toujours aussi belle, mais il n’en vit
rien, occupé à surveiller la vieille. Il fut juste un peu surpris
d’arriver aussi vite au Havre. La ville avait peu changé, et il retrouva facilement la route du port.
Elle était toujours aussi déserte, aussi put-il se garer sans manoeuvre, juste devant le troquet. Avant même d'y entrer, il fut déçu car ce n'est pas René qu'il vit derrière le bar, à travers la porte vitrée, mais sa femme. Le regard de la vieille s'éclaira. Il ne put faire demi-tour car, au tintement du carillon accroché à l'entrée des lieux, tous les habitués et même la patronne avaient tourné la tête vers eux.
Et maintenant, Milky, si tu es d'accord pour écrire la suite, c'est à toi...
Demain, changement de programme pour le footing : je passe de trois chansons avec une petite pause marche entre chaque (programme de ces cinq dernières semaines) à quatre chansons avec juste une pause au milieu... chic chic chic, j'ai hâte...
Couacman nous a fabriqué un meuble pour ranger les chaussures. Le jour où nous avons projeté d'habiter ensemble, il s'est exclamé "Formidable, je pourrais fabriquer un meuble pour ranger nos chaussures !". C'est la concrétisation d'un rêve, en fait, même si comme ça, ça n'a l'air de rien. Maintenant, il nous fabrique une bibliothèque. On en avait déjà une mais on en voulait une deuxième, pour mettre à côté, et faire un mur-bibliothèque (mon grand rêve). Elle est presque terminée.
De mon côté, je me suis remise au dessin et c'est chouette. Je suis assez contente de ce que je fais, même si je n'ai pas encore réussi à obtenir exactement ce que je veux...
Ce matin, j'ai accepté d'accompagner Couacman qui voulait s'acheter des chaussures de ville noires. Nous nous sommes donc retrouvés dans la plus horrible rue de Bruxelles (une rue remplie à ras bord de magasins), un samedi (c'était foule). Au bout d'un moment, Couacman, qui a une collection inimaginable de chaussures (il en récupère partout, en achète parfois, ne jette jamais les vieilles pêtées), s'interroge "mais au fait, je n'en ai pas déjà, des chaussures de ville noires ?". AAARGH ! Du coup, on n'a rien acheté, on est rentré, et puis on a vu que non, il n'en avait pas, et qu'il allait falloir y retourner bientôt.
Dimanche dernier, lors des journées du patrimoine, nous avons visité la maison des francs-maçons, trois temples de style égyptien, dont un de 400 m carré tout de même, cachés dans une banale maison d'une rue banale. C'était incroyable.
Je ne suis plus enrhumée.
Une rencontre avec une éditrice m'a donné très très envie de m'acheter des livres-cd. Et aussi de faire de l'illustration pour enfants (et non pas seulement pour adultes).
Je me suis acheté les deux tomes de Rosalie Blum de Camille Jourdy. Je suis conquise jusqu'à la moëlle. J'adore l'ambiance de banlieue en hiver. Ca m'apaise... je vais les apprendre par coeur.
Notre loyer a été augmenté de 5 %. Nous avons demandé à la banquière si ça ne lui paraissait pas trop anormal, et elle nous a répondu qu'elle n'avait aucune idée de ce genre de choses, car elle habite toujours chez ses parents.
Couacman nous a cuisiné de délicieuses carbonnades flamandes. Ca sentait bon la chaumière dans l'appart'.
Parfois, je suis un peu déséspérée, je me dis que nous allons vivre la fin du monde, et que tous les êtres humains sont des méchants pas beaux. Finalement, ce pessimisme ne m'apporte rien alors j'ai décidé de penser positivement, dorénavant.
Nous avons décidé de mettre un peu d'argent de côté tous les mois pour nous payer un jour un beau voyage.
Ce que j'aime, lors de la journée sans voitures, c'est le silence qui règne. Fini le brouhaha !
Le perroquet de l'animalerie de la rue de Flandre a mysterieusement disparu pour laisser la place à deux perruches vachement moins chouettes.
Depuis que je suis
revenue de Caen, je travaille à la maquette de mon dernier travail
d'illustration et c'est assez fastidieux parce que je suis attachée à
mes originaux et j'ai du mal à m'en détacher pour me tourner vers leur
version imprimée, qui me parait toujours trop lisse. J'aime bien la
matière, le papier qui gondole et ses imperfections, et les traces de
gomme. J'ai pris une bonne résolution
pour ce deuxième semestre : scanner mes images au fur et à mesure, pour
pouvoir les retravailler avec l'aide du prof d'informatique, et mieux
maitriser photoshop - je pense que ça pourrait m'aider à aborder plus
sereinement la partie "scan, mise-en-page et impressions" du travail.
Un jour, Milky a partagé avec ses lecteurs sa recette de lessive pas polluante et elle a réussi à me motiver... Hier, nous avons réuni les ingrédients nécessaires (bicarbonate de soude, paillettes de savon de Marseille, vinaigre blanc et huile essentielle de lavandin) et aujourd'hui, pouf ! La machine tourne ! J'ai hâte qu'elle soit terminée pour vous livrer mes premières impressions... Pour l'instant, un seul regret, dû à notre machine : le bicarbonate de soude est en partie resté dans son compartiment. La prochaine fois, je crois que je le mettrai (ainsi que l'eau savonneuse) directement dans le tambour, juste avant d'y mettre le linge. Sinon, les dosages sont vraiment rapides à faire et je dois avouer que j'y ai même trouvé un certain plaisir (j'aime bien les petites cuisines, comme ça) ! A suivre...
T'as vu Milky, on a même accroché ta recette dans notre salle de bains !
Edit d'après machine : honnêtement, je suis conquise ! Le linge est effectivement propre (j'ai lavé les mouchoirs en tissu et ils sont nickels) et sent particulièrement le frais. Ce doit être l'effet lavandin ! ;-) Merci Milky !
Sissi me propose de vous montrer la sixième photo de mon sixième dossier d'archive d'images... Attention, c'est une photo qui déménage ! Tadaaaaaam !
"Mais qu'est-ce ?" vous demandez-vous. Alors voilà : c'est un orteil de monstre. Ca rigole moins tout de suite, hein ? C'est Couacman qui l'a fait pour les amis chevelus. Il mesure bien trente centimètres de long et là, il est flou donc vous ne pouvez pas trop vous rendre compte mais des poils sont gravés dessus, et les petites ridules des articulations aussi, et tout et tout. On a frisé l'incident diplomatique tout à l'heure, parce que j'ai dit à Couacman que je n'étais pas trop sûre d'avoir envie de mettre cette photo sur mon blog. Et il s'est écrié que cet orteil avait été modelé à partir d'un des siens et que donc il n'était pas si moche. Mais bon, moi, ce n'est pas tant l'orteil que je trouve moche, que ma photo floue et mal cadrée. Et pour l'anecdote : je me souviens que pour modeler avec encore plus de réalisme, Couacman s'était véritablement coupé l'ongle d'un orteil en pointu...
Maintenant, j'aimerais voir la sixième photo du sixième dossier (ou la quatrième du quatrième) de Ktl, Zelapin, et Lisa (si vous le voulez bien !).
Hello la compagnie ! Ca va ? Vous faites quoi ce week-end ?
Mardi, je suis arrivée en avance à l'école alors l'atelier n'était pas encore ouvert. Je me suis assise dans l'escalier en face de la porte. Un mec de première année est arrivé peu après et s'est assis derrière moi, sur une marche supérieure. Nous avons commencé à discuter et au hasard de la discussion, il m'a demandé mon âge que je lui ai donné. Il m'a alors regardée avec des yeux immenses d'étonnement et m'a dit "Ah ouais ! ? Bin dis-donc, tu les fais pas !". Ca m'a beaucoup marquée.
Je remercie ici toutes les personnes qui ont pensé à ma fête, le 17 ! :-)
En ce moment, je ne sais pas ce qui se passe dans ma vie mais je suis hyper calme, pas trop trop stressée. Je me dis que ce doit être grâce aux grandes vacances magiques que j'ai passées. Du coup, je travaille mieux que l'année dernière. Mais cette semaine, c'est un peu plus dur. Une de mes profs me fait voir les choses (le monde, le travail, l'illustration, l'école) sous un angle qui me met extrêmement mal à l'aise.
Hier soir, c'était la fête. Couacman m'a préparé à manger thaï puis nous nous sommes hâtés jusqu'au Kaaitheater, où Couacman m'invitait à voir Steve Reich Evening, de la troupe Rosas. C'était absolument exceptionnel. Surtout une partie où deux danseuses réalisaient une chorégraphie extrêmement répétitive et en parfaite synchronisation. C'était une telle performance, c'était si fascinant et époustouflant que c'était émouvant aux larmes. Ce spectacle s'est terminé à 22h30, et nous sommes rentrés nous mettre en tenue de sport pour aller faire notre jogging, que nous avions omis de faire le matin. Voir tous ces gens bouger sur scène nous a donné une envie débordante de nous secouer la paillasse. Ensuite, vers minuit, nous sommes rentrés nous changer et nous sommes sortis boire une bière rue de Flandre. Dans le bar où nous sommes allés, il y avait Arno et ça m'a mis "Chic et pas cher" dans la tête, de le rencontrer là.
Et aujourd'hui, je me suis acheté un super livre, Mommy ?, de Maurice Sendak, Arthur Yorinks et Matthew Reinhart. Un pop-up très élaboré et très drôle ! C'était le coup de foudre.
J'ai coupé les cheveux de Couacman. Nous sommes tout les deux assez contents mais un de ses collègues lui a dit "Ouh la ! C'est ta copine qui t'a coupé les cheveux ?!".
Un des vendeurs de chez Tropismes m'a dit que j'avais un portefeuille de commissaire.
Parfois, j'hésite à arrêter ce blog.
J'ai demandé au copain d'un copain, que je rencontrais pour la première fois "ah, mais tu es dans notre école aussi ?!" et il a cru que je lui demandais "ah, mais tu es dans notre école de cirque ?!".
L'année prochaine, je vais aller à au moins deux mariages ! Chic alors !
Je n'ai toujours pas souhaité un joyeux anniversaire à quelqu'une très jeune et mignonne.
Dans ce post, il y a plein de phrases qui me paraissent moyennement française mais si vous comprenez ce que j'écris c'est le principal.
Johanne est guérie ! Quelle émotion ! Je resterai très très marquée par la chaine d'amitié qui s'est développée dans les commentaires de son blog : toutes les personnes qui lui laissent des messages, à force de la soutenir ensemble, ont fini par se connaitre et par devenir proches. Je trouve ça incroyable.
Nous avons vu Home au cinéma et nous avons beaucoup aimé. Maintenant, je vais chercher à me procurer l'affiche du film que j'adore...
Cette année, je n'ai pas froid. Pas trop, quoi.
Le marché de Noël arrive, il se prépare.
Mardi soir, chez Julie, les crêpes étaient très bonnes !
Couacdad et Couacmama, c'est bon, je suis bien arrivée à la maison.
Nous avons tous passé une très bonne journée.
En arrivant à Caen, Couacman m'a dit qu'il se rendait compte qu'il aimait bien les chats. Il trouve que Le Chat ressemble au présentateur de Téléchat (et il faut savoir que comme lui, Le Chat a déjà eu un plâtre à la patte avant). Et sinon, chez ses parents, il est devenu très pote avec la grise Lili.
Ce midi, pour notre repas de Noël, nous avons mangé le délicieux gratin moscovite que Couacmama avait préparé exprès pour nous, et que nous avons trouvé dans le frigo. Quelle super surprise ! Merci ! Couacman en mangeait pour la première fois et il a beaucoup apprécié. Du coup, je l'ai laissé feuilleter les grimoires familiaux dans lesquels reposent des recettes secrètes...
Et puis cet après-midi, il a succombé au sommeil, sous un patchwork très beau...
Et puis voilà, ce soir, je l'ai raccompagné en tramway jusqu'à la gare de Caen, il retourne à Bruxelles dès demain matin (et demain midi, il bosse) et moi je reste ici et j'ai amené du boulot avec moi... Ca fout un peu le cafard, ce Noël est si vite passé ! Nous avons passé le 24 chez les parents de Couacman, c'était très chouette. C'était la première fois de ma vie que je passais un Noël ailleurs que chez des gens qui portent le même nom de famille que moi. On a bien rigolé, et je n'ai pas eu de cuit-vapeur de la part de la Maman de Couacman (elle voulait nous en offrir un et nous on ne voulait pas, mais comme elle est têtue, on pensait qu'on en aurait un quand même), j'ai finalement eu de sa part un torchon et des maniques. Hu hu ! Et aujourd'hui, Couacman et moi avons migré jusqu'à Caen, chez mes parents qui sont en Pologne. Nous avons donc passé la journée tout seuls à la maison (avec Le Chat). Qu'est-ce-que c'était peinard ! Je suis triste que ce soit déjà fini. Le Chat a des comportements bizarres, il miaulait tout à l'heure pour sortir mais refusait de passer par sa chatière, et finalement je ne sais pas pourquoi mais je lui ai montré sa gamelle d'eau et il s'est mis à boire en ronronnant très fort, puis ensuite il a arrêté de me coller (et ouf, parce que j'ai déjà fait une crise d'asthme aujourd'hui, alors que je le caressais). Sinon, je me suis permis d'offrir à Couacman une brosse à dents trouvée dans l'armoire à petit matériel, parce qu'il avait oublié la sienne.
Je vous souhaite un joyeux Noël un peu en retard, et une belle fin d'année !
Ce coup-là, ce n'est pas le modem mais l'ordinateur de Couacman (qui est d'habitude connecté à internet), qui nous a lâchés ! Le petit portable noir duquel je bloguais au Havre est donc de retour. Mais comme il n'a pas encore d'antivirus, je ne vais pas m'attarder... A tout bientôt, amusez-vous bien ! Couac Couac.
Et comme je n'ai plus accès qu'à mes vieilles photos d'autrefois, voilà une vue de mon petit lit normand, bien bordé par ma Maman.
Hum oui, depuis quelques mois, je suis une fille EN RETARD. Je suis tout le temps en retard et pour tout, ce qui me met dans des situations horribles et dans des états épouvantables. Donc voilà, aujourd'hui, je vous souhaite un Joyeux Noël en retard.
Et surtout, je vous convie à aller regarder là le beau calendrier de l'Avent qu'Audrey et Anaïs ont concocté/imaginé/organisé pour nous !
Je suis en vacances pour encore deux jours chez les Couac'parents. Il fait chaud ici, c'est chouette, mais c'est normal, c'est le Sud ! ;-)
Les Couac'parents ont un chat, que voici (c'est son air normal, il a toujours l'air aimable).
Ce matin, il est rentré tout décoiffé et tout mal en point. Il a dormi toute la journée (et ce n'est pas fini). On se demande quelles folles aventures il a encore vécu cette nuit.
J'aime énormément ce sentiment de vivre dans une cabane de plage. J'aime bien me faire croire que je ne suis pas là où je suis, penser tellement fort à un endroit que tout à coup, lorsque j'entends au loin la sirène de la police, je me dis "ah tiens, je suis à Bruxelles, pas à Fécamp ?".
Et donc, en ce moment, je suis beaucoup dans le Kansas, dans le Wisconsin, à De Smet ou à 60 km au nord d'Independance, parce que Couacman et moi, nous lisons la Petite Maison dans la Prairie. Nous sommes assis l'un en face de l'autre à la table de la cuisine, il sort son cutter et son balsa, je sors le gâteau au yaourt, les mugs, l'eau chaude et les sachets de tisane, et c'est parti, on s'envole pour la prairie. On sent la chaleur pesante, l'odeur du foin chauffé, on sent les herbes brûlées qui nous piquent les dessous de pieds, on trouve qu'il fait un peu sombre dans cette maison sous terre sans fenêtre, on a froid quand on se lave dans la bassine, et surtout, on se régale avec des galettes de maïs, du pain indien, du lapin, et du lard grillé.
Aujourd'hui, j'ai passé ma journée à attendre et je suis de fort bonne humeur. J'aime énormément attendre, en fait. D'abord, j'ai attendu au centre administratif de De Brouckère, avec Couacman. Nous étions convoqués, et nous devions nous présenter entre 8h00 et 10h30. Nous nous sommes donc levés à 7h00, ce qui ne nous arrive jamais, sauf quand on part en vacances. Alors en petit-déjeunant dans le sombre, nous nous disions qu'il y avait un sentiment de vacances. Ensuite, nous nous sommes préparés en hâte et nous avons filé. Nous avons attendu 2h00 avant de voir notre tour arriver, on a regardé les gens passer, la buée sur la baie vitrée, le soleil qui se levait dehors, les guichets qui ouvraient et fermaient, le n°4 qui avait une cadence bien plus rapide que les autres. Les enfants faisaient connaissance et jouaient ensemble, bref, c'était le bonheur. On avait apporté des cartes postales, que nous avons écrites assis sur des bancs de chaises. Couacman a inventé une chanson qui disait "ça va pas vite, pas viite du tout pasvitepasvite du tooout", chantée façon comédie musicale. Ensuite, nous sommes allés boire un café en face, on n'avait pas beaucoup de temps parce que Couacman devait déjà partir au boulot mais c'était bien quand même.
Et cet après-midi, j'ai attendu chez Actiris, dans le salon d'attente. J'étais bien. J'avais emmené mon carnet de croquis mais comme j'étais entourée de deux hommes, je n'ai pas eu envie de le sortir. Le guichetier ressemblait à Joey, de Friends, et aussi au mari de la soeur de Couacman, et il m'a dit qu'il avait tout de suite deviné que j'étais française, à mon accent. J'aime bien rencontrer des gens qui me font penser à d'autres, qui plus est sympathiques, je me sens bien alors. Je suis officiellement inscrite sur la liste des chômeurs belges, même si je ne suis pas vraiment chômeuse et que je ne suis pas vraiment belge. Par la fenêtre, il y avait un mur de briques blanches avec du lierre qui poussait dessus. La dame qui s'occupait de moi n'avait aucune offre d'emploi correspondant à mon profil à me proposer, elle était très désolée alors que bon, il ne fallait pas.
Petit chocolat chaud de fin d'après-midi avec ma copine C., sur la très charmante place du Béguinage, qui a un côté très "place du village". Je me crois à Auch, quand je suis là. Nous avons parlé d'équitation. La table était éblouissante. C'était très très calme. J'avais Jean-Louis Murat dans la tête, parce que je l'avais écouté très fort dans la matinée.
Voilà, la première nuit dans l'appartement, c'est fait. Comme c'était la veille de la fêt'nat' belge, c'était la fête en ville et nous nous sommes endormis bercés par Mylène Farmer. On a super bien dormi, je dois dire.
La première nuit toute seule dans l'appartement, c'est fait aussi ! Jérome travaillait hier soir et comme on n'a pas de double des clefs... et bien il a dormi dans le vieil appart' sur un matelas gonflable.
Je profite très moyennement de cette période, je trouve que tout ça avance bien trop lentement et j'en ai marre. Maintenant, nous vivons à cheval sur deux appart', on dort dans l'un mais on mange dans l'autre (sauf le p'tit dej'). On a un appart' rempli de cartons, avec rien à y faire. Et un appart' tout vide, avec rien à y faire.
Hier soir, Jérome travaillait donc. Je me suis demandé dans quel appart' j'allais m'occuper je ne sais pas comment. Et puis finalement, j'ai opté pour un ciné. Je suis allée à celui qui est le plus proche de chez moi, soit l'UGC De Brouckère, et j'ai regardé quelle était la prochaine séance. C'est une technique de mon frère pour voir des trucs qu'il ne verrait pas sinon, et des fois, je fais comme lui. La prochaine séance, c'était Inception, un film avec Leonardo Di Caprio et Marion Cotillard, qui ne me disait rien qui vaille. Sauf qu'à la caisse, le mec m'explique qu'il a déjà vendu toutes les places, qu'il faut que je choisisse une autre séance. Le film qui commençait dans le moins de temps, c'était du coup Twilight. J'avais quand même 1h15 à attendre alors je me suis installée dans un fauteuil très confortable et j'ai lu Marie Claire. Le film m'a bien happée. Je ne connaissais rien à Twilight et maintenant c'est malin, j'ai envie de voir les autres... Bien sûr, je suis tombée amoureuse d'Edward. Bella m'a fait penser comme pas possible à l'actrice principale de Dawson, celle qui est mariée avec Tom Cruise, vous voyez ? En fait, ce film m'a beaucoup fait penser à Dawson. Si vous aimiez Dawson, vous aimerez Twilight. Bon, toutes les histoires avec les vampires, j'ai trouvé ça moins intéressant que les problèmes amoureux des héros mais bon, c'est mon côté fleur bleue qui se réveille.
A part ça, hier après-midi, nous avons démonté notre blibliothèque verte. Au départ, on espérait la déménager sans la démonter mais une des deux parties était trop fragile, et l'autre ne rentrait ni dans l'ascenceur, ni ne passait dans l'escalier. Notre ancien appartement fait tout vide, sans elles. Je ne le reconnais plus. C'est une drôle de sensation.
La photo, en haut de ce billet, c'est la vue qu'on a de notre nouveau salon.
Un dimanche, c'est la fête des pères. Couacman, plein d'enthousiasme, appelle son père "allloooo Papa ???!!!". "Ben... non, c'est votre dentiste, là !". "Ah ! Pardon !". "Hé hé, bonne journée quand même hein !" .
(ce n'est pas une blague Carambar, c'est la vérité)
A part ça, un de mes collègues m'a raconté qu'un jour, une cliente lui a demandé "Meurtre dans l'Orient Express" de André Agassi.
Nous avons résilié notre contrat avec le fournisseur d'accès internet qui ne nous y donnait pas accès, nous avons rendu notre modem, bref, nous sommes libres et un jour, peut-être bientôt, nous aurons internet grâce à un autre fournisseur d'accès à internet.
Sur la photo, c'est une étagère Ikéa transformée en étagère qui s'adapte à la pente du toit par le soin de Couacman.