Aujourd'hui, je crois que j'ai un peu trop forcé,
Aujourd'hui, je crois que j'ai un peu trop forcé, il y avait du monde au travail, beaucoup de choses à faire et j'aime bien faire les choses que j'ai à faire au boulot. C'est pour ça que je me suis assise, levée, rassise, relevée, penchée, rassise, relevée, penchée, beaucoup. Le bébé, qui normalement fait une petite sieste l'aprem' (ok, j'en sais rien, en tout cas d'habitude l'après-midi on ne l'entend plus pendant quelques heures) n'a pas arrêté de gigoter tout le jour non stop et d'ailleurs là ce n'est pas fini, il se tourne et se retourne et je sens ses pieds qui frottent et ses genoux qui raclent l'intérieur de mon utérus. Pauvre coco. C'est pour ça qu'après avoir fini d'écrire ce billet, je vais aller me laver les dents et la figure, mettre de la crème sur mes pieds et lire au lit, d'où je ne bougerais plus jusqu'à demain matin.
A part avoir travaillé, je n'ai pas fait grand chose. J'ai eu cinq surprises : vos commentaires qui m'ont rendue vachement heureuse (j'y reviendrai), un coup de fil étonnant et joyeux de quelqu'un qui a eu le code secret du fixe par quelqu'un d'autre et que même si je savais que ce quelqu'un d'autre l'avait filé au premier quelqu'un de cette phrase, et bien j'étais quand même surprise. Et puis une carte postale de J. dans la boîte aux lettres, et une petite fille dans la rue, assise sur les épaules de son père (j'imagine) avec elle-même sa grosse peluche Daisy qu'elle tenait par les pieds, assise sur ses propres épaules, ça faisait une grande montagne de gens et c'était très mignon. Et puis pendant ma pause cet après-midi au boulot, je regardais par la fenêtre de la cuisine, et dans l'immeuble d'en face, un type est venu à la fenêtre aussi et m'a fait coucou.
Maintenant, au paddock !