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27 avril 2007

des croustillons brûlants

Couacman ayant fortement apprécié le conseil d'une dame très à l'ouest, nous sommes allés manger des croustillons de Victor sur la plage pour peaufiner la hauteur de présence de mon moral (cette phrase ne ressemble à rien, j'en ai bien conscience).
Nous avons été servis par Victor himself, je l'sais parce que je lui ai demandé. Il m'a dit "Oui, c'est bien moi, le petit-fils de l'inventeur du cabanon des frites à Victor". Finalement, je trouve sa réponse moyen convaincante et du coup, je vais être obligée d'y retourner pour lui demander si on s'appelle Victor de père en fils par chez eux. Il est peut-être proprio du cabanon, mais s'appelle-t-il Victor ? Mystère...
Enfin bon, l'important, c'est que les croustillons, c'est vraiment bon pour le moral (ainsi que le Crunch).
En-dessous, ne pensez pas que c'est une photo de la Manche aujourd'hui, je n'avais pas mon appareil-photo.

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27 avril 2007

fin de journée d'hier

Bon, et bien voilà, j'avais raison de me méfier, ma journée hier me réservait encore des surprises : je suis allée chez Monoprix acheter du papier à ordinateur, parce que j'aime bien Monoprix alors c'était une bonne excuse pour y aller et y traîner 107 ans.
Je n'ai rien trouvé qui m'enthousiasmait des masses et en plus, l'abondance de rayonnages du magasin n'avait en rien apaisé mon envie de trainasser, alors j'ai dû me rabattre sur d'autres boutiques susceptibles de vendre un truc pas trop cher vu que mon budget était minus (7 euros et des brouettes, pour tout vous dire). Dans l'ordre, après Monoprix, je suis allée chez Mango, C&A, Jenyfer, Xanaka, Texto, et Mim. Autant vous dire que je n'ai rien trouvé d'incroyable et de révolutionnaire en matière vêtementesque. Je suis allée voir Couacman chez lui et heureusement qu'il a des bras parce que j'avais besoin d'un calin.
Comme il voulait me faire plaisir, il m'a proposé que nous allions chez Marché+ pour nous faire un dîner sur mesure. On a acheté des tuiles goût pizza, de quoi faire une tartiflette et du crunch, tout pour un menu super diététique, donc.
Nous sommes revenus chez moi, très bien , ça nous a fait marcher un peu et perdre des calories pour faire de la place aux nouvelles qui allaient arriver.
Mais voilà qu'alors que la tartiflette cuisait, il y a eu une coupure de courant. Les plombs ? Que nenni, la lumière du hall d'entrée de la maison ne marchait plus non plus. Et puis la voisine était là aussi, désemparée tout comme nous. Et les voisins de la maison de derrière aussi.
Nous avons pris parti d'attendre chacun chez nous que l'éléctricité nous soit rendue mais comme elle ne revenait pas, nous avons allumé des bougies et mangé la tartiflette mi-cuite.
Du coup, on s'est couché après dîner en faisant bien attention à "éteindre" toutes les lampes susceptibles de se rallumer en cas de retour de courant. Mais nous avons oublié les pires, celles de ma chambre, qui se sont rallumées à 6h00 ce matin... c'était comme une seconde naissance, toute cette intrusion de lumière dans notre belle obscurité sommeillesque.

26 avril 2007

une journée qui fout le cafard

Heureusement qu'elle n'est pas terminée, elle a encore des chances de remonter dans mon estime. Aujourd'hui, j'ai écouté France Inter de 10h00 à 17h00. J'ai essayé de travailler et je n'ai pas été contente de moi. Et en plus, j'ai reçu une lettre des beaux-arts de Nantes : je ne suis pas admise...

25 avril 2007

plafond d'Epron

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Tous les matins, je lis tout ce qui est écrit sur chaque affiche, mais à l'envers. David Gerstein devient Divad Nietsreg. A un moment, j'étais tellement entraînée que  je traduisais ce qu'on me disait en "à l'envers", dans ma tête.

25 avril 2007

au Café de la Bourse

Dans ce café, il y a une ambiance du tonnerre, un condensé de l'ambiance de la cuisine de Pépé et Mémé et de celle de la Villa Savoye de Le Corbusier ( à Poissy). On boit des chocolats chauds fabriqués avec du vrai lait et du chocolat qui a le goût de chocolat et on discute sur fond de RFM.

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20 avril 2007

première lessive de tout ce qu'il y a à laver

Aujourd'hui, Couacman et moi avons fait une lessive énorme. C'était une première pour moi, de laver toutes mes affaires, même les plus fragiles et les plus adorées, pour ne rien apporter à laver ce week-end chez mes parents. Et bien je me sens considérablement soulagée de me débrouiller. Et ça fait du bien d'avoir plein de trucs propres à mettre. En plus, j'ai étendu dans la cour arrière de la maison tout ce qui ne va pas au sèche-linge, j'étais au soleil, ça sentait le linge propre, c'était bien. En plus, pendant ce temps, Couacman nous préparait du chou à la chair à saucisses.

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19 avril 2007

une collection de plafonds

J'ai commencé il y a cinq ans un carnet de plafonds. Dedans, je mettais des photos de ce que j'avais pu voir au plafond ou sur le haut des murs, allongée dans mon lit lorsque j'étais invitée à dormir chez les autres. J'ai peu à peu arrêté de remplir mon cahier, mais je décide de recommencer cette collection, sur ce blog.
Voici, en premier, ce que je vois quand je suis couchée sur mon lit.

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17 avril 2007

devinette

Formidable ! Nos plantes poussent à la vitesse de la lumière ! Le premier qui saura me dire au moins le nom d'une des plantes que nous avons planté recevra une carte postale...

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17 avril 2007

un pigeon bien prétentieux

A Paris, monsieur Couac et moi avons rencontré Jésus qui tenait conférence, installé sur un poteau du boulevard des Batignolles.

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17 avril 2007

poster son dossier

Fini ! Posté le dossier d'inscription aux beaux-arts de Nantes !... Ca a été limite mais il est posté ! Je vous raconte : il fallait le poster aujourd'hui dernier délai, cachet de la Poste faisant foi. Ici, la dernière levée de la Poste, en ville, est à 16h45, pas très tard, donc. J'ai bouclé mon dossier à 15h30, il me restait des photocopies à faire, une pochette en carton à acheter... et je croyais que la dernière levée était à 16h00. L'angoisse, donc. Je suis partie complètement affolée de chez moi et j'ai filé jusqu'au magasin de photocopies. La photocopieuse est tombée en panne. Le mec était complètement ramolli du genou et a mis 107 ans à la réparer. D'autant qu'il a été déconcentré (et moi, complètement paniquée, pour le coup) par une de ses collègues qui s'est écriée : "La rue ! La rue est inondée !". Je me suis tournée vers la porte et effectivement, malgré le temps sec, une énorme coulée de boue (sans blague) avançait dans la rue. Mes photocopies en main, je suis sortie et me suis retrouvée submergée moi aussi (il y avait plein de monde dans la rue, plein de voitures embourbées jusqu'au-dessus du pneu), j'ai été obligée de courir, la peur de louper la dernière levée au ventre. Par chance, la ville est en pente, je suis donc remontée d'une rue (en passant, soit dit en passant, devant la cause de l'accident pas très naturel, une énorme canalisation pêtée d'où jaillissait un geyser de merde) et j'ai couru couru jusque chez Monoprix où j'ai acheté mes pochettes en carton. En plus il y avait plein de monde à la caisse, et sur mon ticket de paiement était inscrit en lettres noires "16h03". Et il fallait encore que je ferme l'enveloppe et tout, c'était terrible. A la poste, re-belote, une queue pas possible mais j'ai été voir au-dessus de la boîte aux lettres et la dernière levée était plus tard que ce que je pensais, donc. Je voulais absolument aller à un guichet pour voir la dame tamponner ma lettre et avoir le coeur tranquille. J'ai fait la queue jusqu'à 16h35, c'était très long et très chiant d'ailleurs. J'ai expliqué mon cas à la dame et c'est là que j'ai besoin de vous pour me rassurer et me réconforter car je me suis fait avoir, j'vous raconte pas : elle m'a dit "Oui, je vais l'affranchir sous vos yeux, pour que vous soyez tranquille". Sauf que pour elle, affranchir voulait dire "coller à la place du timbre une étiquette autocollante avec le prix du timbre et la date et le lieu de postage". Sur le coup, je n'ai pas réagi mais maintenant, je m'angoisse : ce type d'étiquettes, on peut les acheter en libre-service, et donc, peut-être que ça ne compte pas du tout comme le fameux cachet de la Poste qui fait foi, parce que j'aurais très bien pu acheter cette étiquette aujourd'hui et l'avoir collée sur mon dossier que j'aurais posté demain ou après-demain. Bref, si mon dossier, posté à 16h43 est arrivé trop tard pour la levée de 16h45, j'aurais le tampon du 18 et non celui du 17 et c'est ça qui comptera, et non le fait que j'ai acheté mon timbre le 17... Non ?

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