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couac

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couac
9 février 2008

tag/deuxième partie

J'ai une idée ! J'aimerais que toutes les personnes qui lisent ce blog sans en avoir un (de blog) répondent au "tag" : dévoiler six vérités sur soi. Vous pourriez répondre dans les commentaires ?
Allez, Couacdad, Couacmama, K1000, Marie, Marishka, Agnès, Teclo, Seve, Krusti, Charlotte, 29sieck et tous les autres aussi !... au boulot ! :-)

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8 février 2008

TAGadagada

Guten TAG Cardamome !

1- Je ne savais pas trop comment introduire ce tag alors du coup, je ne l'ai pas introduit et du coup, j'écris un truc inintéressant en première réponse au tag.
2- J'ai peur de tout et de rien : des sirènes des voitures de police, pompiers, ambulances, des chiens, des voyages en voiture, d'être chiante, saoûlante, bête, inculte, pas douée, trop flemmarde, de tout gâcher. J'ai peur de décevoir, de n'avoir rien à dire, de tenir des propos qui feraient mal aux autres. J'ai peur de m'emmêler les pieds en descendant un escalier, de me prendre les pubs accrochées au plafond des supermarchés sur la tête et que ça me la tranche en deux. J'ai peur que Couacman tombe par la fenêtre en lavant les vitres, j'ai peur des fantômes, des sorcières, des monstres qui pourraient être sous mon lit et m'attraper la cheville quand je me lève. J'ai peur de m'étouffer en mangeant. J'ai peur aussi parfois sans raison : des fois, j'ai peur à la perspective d'aller au ciné avec une copine, ou bien à l'idée de cuisiner une recette inédite pour moi.
3- J'adoooooore manger de la barbaque, et j'adore le mot "barbaque" et du coup, quand on en mange, j'aime dire "mmmhhh, de la barbaque !".
4- Je crois bien que c'est moi qui aie perdu le toutou du chat, la vieille peluche râpée qu'il prenait pour son bébé, mais je ne suis pas sûre parce que peut-être que je l'ai juste rêvé.
5- Depuis que je me suis coupé les cheveux, ils repoussent parfaitement lisses, je n'ai plus un frisotti, ni dans le cou ni nulle part, et ça me fait un peu bizarre.
6- En souvenir de mes 14 ans, je garde mon cd de Pascal Obispo.

Si vous voulez répondre vous aussi à ce tag, lancez-vous !

6 février 2008

le jean à fleurs de Couacman

Un jean hérité de son grand-frère, qui a vu du paysage... les genoux usés et même troués. Impossible de se résoudre à ne plus le porter, mais des problèmes de courants d'air à la moindre sortie dans le froid. Alors, à quatre mains, nous lui avons redonné une seconde jeunesse ; choix du tissu, choix des formes, couture... et le jean est reparti pour au moins 15 ans !

Voilà Marie, ce qui est advenu d'un morceau de la housse de traversin !...

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6 février 2008

une astuce ?

Nous avons récupéré assez de pots pour commencer à penser à faire des confitures, mais est-ce-que vous avez un truc pour décoller facilement les étiquettes bien accrochées (pour mettre les nôtres à la place) ?

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5 février 2008

gâteau fait maison

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4 février 2008

week-end

Quel week-end ! J'adore ces jours où on décide de se faire plaisir...

Samedi, je me suis offert Faire semblant c'est mentir, de Dominique Goblet, que je convoitais depuis au moins Noël. A chaque passage à la librairie, feuilletage, lecture d'une ou deux pages... Finalement, ce livre est tellement riche que je n'arrivais pas à être satisfaite en le regardant juste dans le magasin - c'est le genre d'albums qu'on prend plaisir à regarder dans les détails. J'observe les techniques, les dessins, je me dis "wahou, j'adore cette case !" et je vois qu'en plus d'être belle, la case en question sert parfaitement le morceau d'histoire qu'elle illustre... Il y a une scène en particulier, un dialogue avec le père... mmmhhh, je ne vous en dis pas plus mais à votre place, j'irais voir : une histoire qui touche, des pages à regarder, re-regarder et re-re-regarder...
Le soir, nous avons assisté à la deuxième projection de Peur(s) du noir au festival Anima. Le journal des projections du festival dit "Six grands auteurs graphiques
et créateurs de bandes-dessinées (Blutch, Charles Burns, Marie Caillou, Pierre Di Sciullo, Jerry Kramsky, Lorenzo Mattoti, Richard McGuire) ont animé leurs cauchemars, griffant le papier de leurs crayons affûtés comme des scalpels, gommant les couleurs pour n'en garder que l'âpreté de la lumière et le noir d'encre de l'ombre. Leurs récits entrelacés composent une fresque unique ou phobies, répulsions et rêves prennent vie, montrant la Peur sous son visage le plus noir... Peur blanche et humour noir pour les salles obscures...". Depuis, j'ai à nouveau peur du noir (c'est vrai en plus). C'était beau, ça aussi... il y a des traits et des styles qui se prêtent particulièrement bien à l'animation. Je pense au crayonné de Blutch, qui sautille et crépite.

Dimanche, nous nous sommes lancés dans la cuisine ; soupe de citrouille, lentilles, carotte, fromage, noix de muscade, pomme de terre... et sapin en chocolat (recette Astrapi).

Aujourd'hui, il fait un temps de cochon, j'ai fini de lire Nadja d'André Breton (enfin... en vérité, il me reste dix pages à lire mais j'en ai marre). Je vais peut-être retourner à la librairie acheter un livre à propos d'illustration et d'illustrateurs et de façons d'illustrer... c'est les vacances mais il faut surtout bosser !

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1 février 2008

Je me souviens du bruit du frottement de la porte

Je me souviens du bruit du frottement de la porte d'entrée sur la moquette à Poissy, et aussi du bruit que faisait la porte du hall en se débloquant une fois qu'on avait fait le code.
Je me souviens de la moquette qu'il y avait aux murs dans les escaliers de l'immeuble, je me souviens que dans le hall, là où il y avait les boites aux lettres, ça sentait souvent la crotte de chien.
Je me souviens de la barrière qu'il fallait ouvrir pour accéder aux escaliers qui menaient à la cave, et je me souviens que surtout, il ne fallait pas la faire claquer pour ne pas déranger les voisins.
Je me souviens que Maman disait que la voisine avait encore cuisiné de l'ail.
Je me souviens du local à vélos bordélique.
Je me souviens des poignées rectangulaires en verre jaune épais des premières portes du hall.
Je me souviens que lorsqu'on a emménagé à Poissy, on avait mis la balançoire là où normalement il y aurait dû y avoir des fleurs. Je me souviens que dans la partie en béton de la "barrière" du balcon, il y avait des cailloux incrustés, qui étaient tout doux à caresser.
Je me souviens que lorsqu'on était sur le balcon, la fenêtre ouverte de la cuisine faisait un parfait magasin de glaces (à la patate).
Je me souviens que le soir on s'adossait sur le radiateur de la chambre d'Olivier pour apercevoir Papa rentrant du boulot.
Je me souviens que je ne trouvais pas ça fun d'habiter au premier étage, j'aurais préféré habiter au troisième.
Je me souviens que je trouvais horrible (mais alors vraiment) les portes vitrées, toutes, pas uniquement celles qu'il y avait chez nous. Toutes.
Je me souviens que souvent, on se demandait si les voisins du dessus faisaient du bowling dans la baignoire pour faire autant de bruit.
Je me souviens que j'adorais tendre l'oreille pour entendre le bruit des chaussures à talons des dames qui passaient dans la rue.

1 février 2008

la recette des pommes bonne femme

Pour 4 personnes, il te faut : CIMG8650
- 4 grosses pommes à pulpe ferme
-50 g. de beurre
-40 g. de sucre semoule


*Préchauffe le four à 220°C.

*Coupe les pommes circulairement, à mi-hauteur. Evide-les puis dispose-les dans un plat à gratin beurré.
*Malaxe le reste du beurre avec le sucre semoule et garnis-en le creux de chaque pomme.
*Verse un demi-verre d'eau dans le plat.
*Mets à cuire au four pendant 35 à 40 minutes. Sers dans le plat de cuisson.


( Recette des pommes bonne femme du Petit Larousse de la cuisine)

 


31 janvier 2008

Aujourd'hui, le bilan continue. Nous nous sommes

Aujourd'hui, le bilan continue. Nous nous sommes lancés à deux, avec Couacman, dans un grand tri de nos habits. On s'est bien marré à essayer des vieux trucs - on a tenté de voir si les pulls que je n'aime plus mettre pouvaient lui aller mais bon, 'fallait pas trop rêver. Au final, deux grandes piles de trucs, une à donner et l'autre à encartonner chez nos parents (c'est la "pile des habits en sursis", d'après Couacman). Dans la pile des trucs à donner, j'ai mis le pantalon kaki trop grand que mes parents m'avaient payé en me déposant à Rennes pour ma première année d'études. J'ai enlevé les fossiles qui logeaient dans la poche depuis cinq bonnes années maintenant... j'ai mis aussi deux jeans et plein d'autres choses. Je n'ai pas réussi à me séparer des habits que je ne mets plus mais que j'ai vraiment adorés.

Sinon, en ce moment, quand nous parlons cuisine et nourriture, avec Couacman, et bien je ne peux pas m'empêcher de dire "casso", "papier sulfu" et "celloph' ", pour "cassonnade", "papier sulfurisé" et "cellophane". Je crois bien que c'est un peu saoulant pour lui mais moi, j'aime bien, je trouve que ça fait grande cuisinière...

J'ai encore oublié de m'acheter des chaussons et j'ai froid aux pieds.

Aujourd'hui, j'ai attendu pendant une heure le prof de sculpture (qui était en pause déjeuner mais je voulais lui parler et j'avais la flemme de sortir dans le froid pour m'occuper en attendant). J'étais adossée contre un radiateur... c'était bien. Au début, j'ai eu peur de m'ennuyer mais en fait, j'ai vu passer des gens que je connaissais un peu et ils m'ont tous tapé la discut' ! C'était super. Il y a une fille en particulier, à qui j'ai parlé une fois au mois d'octobre, elle est restée au moins vingt minutes à me raconter sa vie, c'était trop bien.

Je n'arrive pas à réaliser que j'ai des chaussures à talons.

Couacman a cuisiné des "pommes madame" ; que c'est bon ! On a recouvert le plat de celloph' et hop, au frigo et on en a pour au moins trois jours !

Avant-hier, j'ai tué un faucheux qui galopait dans la douche (ok, il faisait à peine 1,5 cm d'envergure).


31 janvier 2008

Ce soir, l'humeur est au petit bilan. Je

Ce soir, l'humeur est au petit bilan. Je réfléchis, je repense au Havre... Je constate que lorsque je pars d'une ville, je n'en garde que les bons côtés, ce qui fait de moi une vraie girouette : au Havre, je pleurais pour partir, n'importe-où mais ailleurs. Maintenant, ne me restent de cette ville que des souvenirs de mer, de terrasses ensoleillées, de couchers de soleil, de gros bateaux, de calme, de square Saint-Roch, de jolie maison pleine de faucheux, de cris de mouettes, de couture, de chorale et de profs marrants et intéressants. Si je me creuse vraiment la cervelle, à la limite me reviennent  les crottes de chiens, le cent'Coty, les bus pas chouettes et les gens assez méfiants.
Rennes, c'est pareil, je ne me souviens que du beau et de l'agréable mais c'est plus normal parce que j'ai adoré y vivre (je repense aux footings et aux piques-niques au bord du canal St-Martin, au centre-ville lumineux et enthousiasmant, à la douceur de vivre, aux mille milliards de chocolats chauds que j'ai bus dans cette ville, aux amis chaleureux, au vendeur de kebabs à côté de la grande poste qui connaissait par coeur ce que j'étais habituée à demander comme garniture ("kebab-galette sauce blanche salade frites"), aux promenades nocturnes, aux nuits à discuter avec diverses personnes sur les marches du Parlement, entre autres).
Bon, et maintenant, Bruxelles ? Je n'arrive pas à prendre du recul. Je suis bien, à Bruxelles, ça, je le sais. Je ressens aussi un certain affolement assez nouveau à la vue des jours qui passent sans que j'aie le temps de dire "ouf" et en ayant l'impression de ne profiter de rien. Normalement, l'an prochain, j'aurai moins d'heures de cours... peut-être plus le temps de flâner.
Ce qui est étrange, c'est aussi de ne pas pouvoir envisager de rentrer à Caen dès que je le souhaite... ça me manque de ne plus prendre le train ou le car et d'y méditer. C'est important, des fois, de pouvoir ne rien faire, d'être dans un espace-temps qui force à ne rien faire ; dans le train, j'écoutais de la musique, je rêvassais en regardant par la fenêtre... la SNCF (enfin... les sociétés ferroviaires en général en fait) nous autorise à produire du rien, à rester assis à ne rien faire, pendant un certain temps. Ca, c'est vraiment sympa.
Je vais aller me coucher, avec un peu de chance, demain, tout sera plus clair !

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