Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
couac
Newsletter
Publicité
Archives
couac
27 février 2013

machine à 30°C du 27/02/2013

CIMG8320

Publicité
Publicité
26 février 2013

Aujourd'hui mon prof de nage m'a dit que la

CIMG8260

CIMG8305

CIMG8319



Aujourd'hui mon prof de nage m'a dit que la prochaine séance serait sûrement la dernière. Ce coup-là, le crawl, c'est dans la poche mais ce n'est plus moi qui le dis. Ca avance super vite le crawl, et ça permet de regarder les ventres et les jambes des autres nageurs. Après la piscine, j'ai toujours le nez qui coule toute la soirée. Le pire, c'est dans le métro, juste après, en plus on est souvent beaucoup, un peu serrés et je suis là à me moucher des litres en faisant des bruits d'éléphant et de bombe de chantilly, j'aurais envie de me cacher pour plus d'intimité.
Donc, la semaine prochaine, dernière séance, mais je sais déjà que c'est à cette piscine que je reviendrai le mardi, parce qu'elle est lumineuse et agréable, même si elle est plus loin et plus chère. Il y a une ambiance parfaitement basique de piscine et c'est ce que je recherche. Pas de fioritures, des ondes amicales et familiales, des instit' qui discutent boulot chacune de leur cabine (et moi j'écoute tout depuis la mienne).

Maintenant que nous habitons tout près de la Cinématek, nous y allons super souvent. Récemment, nous y avons vu Solitude de Paul Fejos qui nous a mis d'une humeur d'enfer. C'est un peu l'histoire de la Foule d'Edith Piaf. Et les acteurs sont beaux ! Et en plus c'est drôle. On a aussi vu La Règle du jeu de Jean Renoir, que j'ai bien aimé sur le coup mais qui ne me laisse pas un souvenir impérissable. Et puis on a vu Journal d'un Curé de Campagne, de Robert Bresson, et là j'ai carrément failli m'endormir. Et quand on pense que j'ai vachement de mal à voir des films en noir et blanc (en fait je crois que je vais au cinéma précisément pour la couleur), et bien c'est pas mal d'avoir réussi à voir ces trois films et d'en avoir carrément adoré un.

En parlant de couleurs, à force de photographier notre linge qui sèche, et bien je trouve qu'on en porte peu et ça m'interroge parce que pourtant, on aime bien les couleurs !

Je tente de me laisser pousser les cheveux parce que je me souviens comment j'ai souffert l'an dernier pendant l'été quand il faisait chaud. J'avais super envie de  les attacher mais ce n'était pas possible. Donc là, je me la joue prévoyante et je laisse pousser, tout, la frange et le reste. J'en suis à la période critique où j'ai une longueur pourrie et la frange dans les yeux et qui se met mal. D'habitude, c'est le moment où je craque et où je demande à J. de couper, mais ce coup-là je suis quand même assez décidée à tenir.

Mon tricot a avancé à grandes aiguillées depuis que je l'ai montré à Marie entre deux tasses de thé. Dimanche, ça a dépoté, j'ai fait ça une partie de la journée. J'adore.

J'ai posé mes congés, au printemps. On va partir en Italie. On sait pas encore où exactement mais l'Italie, ça c'est sûr !

Maintenant, le mercredi midi, je mange dans la cuisine du boulot (avant je mangeais au Soleil). Il y a des jeux de société mais personne ne veut y jouer avec moi. Pourtant, ça ferait un bon sentiment, un petit Mastermind entre 13 et 14H00. J'emmène les restes des petits plats qu'on se concocte avec J. le jour d'avant ou celui d'encore avant. Parfois, mes collègues lorgnent un peu sur mon assiette et je n'aime pas trop ça.

Je remercie la personne qui m'a laissé en lien cette chanson de Françoiz Breut un jour dans les commentaires, j'aime beaucoup l'écouter.

Un éditeur pas de livres scolaires m'a envoyé ses voeux par voie postale ce qui n'a pas manqué de me faire super plaisir.

Au boulot, il y a une pile de livres sur le gorille (1,50 euros, à ne pas manquer (c'était une petite page de pub, comme dans The Truman Show)) posée sur le comptoir. L'autre jour, j'en ai feuilleté un et c'est fou ce que c'est attachant ces petites bêtes ! Figurez-vous que les petits jouent à la balle au prisonnier ! C'est pas fou ?

Je n'ai pas vu d'araignée depuis Noël.

En ce moment j'ai très très envie d'aller vivre en Bretagne.

On va changer de machine à laver parce que la notre est en train de nous lâcher lâchement. Ca tombe bien, on a plein d'éco-chèques à dépenser. Si vous en avez une qui tient le coup depuis de nombreuses années, on veut bien en connaître la marque (ou si vous en avez une super pourrie, on veut bien savoir quelle en est la marque aussi) parce que c'est notre critère, qu'elle tienne longtemps.

Je sais déjà ce que je vais faire pour ma carte de voeux 2014 du coup j'hésite à la faire et à l'envoyer dès maintenant, au moins ça ferait une surprise pour tout le monde (sauf pour vous).

Je n'ai toujours pas rencontré le roi.

L'autre jour, J. est rentré à la maison avec un beau bouquet dans les mains, comme ça. Et puis pour la première fois, cette année, on a fêté la Saint-Valentin. On s'est dit "allez, pourquoi on ferait rien si on a envie de faire quelque chose ?" et nous sommes allés manger dans le délicieux restaurant marocain de la rue Dansaert. On n'est jamais déçus.

J'ai décidé d'abandonner sur des bancs les livres que mon job alimentaire n'a pas voulu racheter.

Je vous souhaite une soirée au poil (et à poil aussi si ça vous fait envie) !

25 février 2013

machine à 30°C du 25/02/2013

CIMG8299

24 février 2013

la recette salée de la semaine : ribs à s'en lécher les babines

CIMG8296

"Ribs à s'en lécher les babines", c'est le nom officiel de cette recette, celui qui est donné dans le livre. Et bien en fait c'est vrai, c'était exquis. La viande est moelleuse et se détache toute seule des os, elle est super aromatisée à plein de trucs, c'est un vrai petit délice. Ce soir, en accompagnement, du riz basmati complet et de la purée de céleri.

Recette de Trish Deseine dans J'en veux encore, éditions Marabout.

24 février 2013

machine à 30°C du 24/02/2013

CIMG8278

Publicité
Publicité
24 février 2013

ma dose de sucre de la semaine, une tarte au caramel et au beurre à la fleur de sel

CIMG8273

CIMG8274

CIMG8277

C'était hier, on l'a mangée en dessert après le bon repas que nous avaient concoté Marie et son mari. Alors cette tarte je l'ai bien aimée, je m'attendais à une note plus "caramel au beurre salé" que ça mais ça avait un bon goût de caramel et c'était collant à souhait. A refaire, je valide !


Recette d'Annie Botrel dans le Petit Larousse Pâtissier.

22 février 2013

le choix de l'optimisme

Un jour vers la fin de l'année 2012, j'ai lu un article sur internet, c'était un philosophe super connu mais je ne me souviens plus lequel (mais pas le mari d'Arielle Dombasle en tout cas) qui disait sur je ne sais plus quel site (j'ai de super sources) qu'en fait, à son avis, la fin du monde ou plutôt la fin de l'homme était déjà en marche, qu'on courait à la catastrophe et que la fin du monde c'était pas forcément une énorme explosion un beau jour, que ça pouvait être quelque chose qui se passe à petit feu, l'extinction de beaucoup d'espèces, la nature qui répond à nos actes, des riches qui veulent plus de sous et des pauvres qui se battent pour une miette de baguette (je romance comme ça, c'était pas dit comme ça).

Et puis en ce moment, comme j'ai un petit fond optimiste, je repense au livre génial Résister c'est créer de Florence Aubenas et Miguel Benasayag, que j'avais lu dans notre lit, dans la lumière du vélux de notre précédent appartement. Le livre qui fait devenir responsable, qu'après l'avoir lu on a envie de prendre les choses en main, de devenir vraiment citoyen, de se bouger le fessier, d'agir localement mais d'agir, de devenir tous de vrais politiciens quoi.
Et donc, je tombe par-ci par-là sur des nouvelles qui me font penser qu'en fait, on est peut-être en train de vivre la fin de l'humain, mais on est aussi en train de vivre un bon début de révolution, c'est moi qui vous le dis.

Sur facebook, j'ai dit J'AIME aux Incroyables Comestibles et depuis, très régulièrement, dans le flux de mes infos facebookiennes, et bien j'apprends qu'une nouvelle ville participe, que de nouvelles personnes ont décidé de faire potager commun avec le monde entier, de planter des poireaux et des carottes disponibles aux passants au bord de leur terrain. Il y a même des endroits où les légumes poussent dans les bacs à fleurs de la ville (dans les rues piétonnes pas polluées). Et hop, +5 de moral sur l'échelle de Richter du moral.

J'ai découvert la Super Supérette qui propose des recettes joyeusement partagées pour réaliser chez soi ses aliments industriels préférés, sans les ingrédients non comestibles qu'il y a normalement dedans. A nous le Nutella maison, les Tuc fabriqués à la main, le Napolitain poli. Génial !

Sur le blog du Monde une année en France, j'apprends qu'à Poitiers, les étudiants se sont organisé une petite épicerie pas chère du tout pour les plus démunis d'entre-eux, j'apprends que dans un village français, on a construit une maison pour un homme qui vivait dans un mobil-home, je lis que deux classes de 5ème d'un collège sont embarquées dans une aventure d'opéra et sont enthousiasmées de découvrir Paris et l'opéra Garnier. Je lis que des gens cultivent des graines interdites et en font des échanges secrets pour retrouver la diversité.

J'entends aussi parler de gens qui se manifestent pour préciser leur désaccord quant à l'érection d'aéroports ou de choses comme ça.

J'entends que la Stib a compris que beaucoup de gens prennent les transports en commun et que par conséquent il faut en augmenter la fréquence de passage.

Les poêles en fonte existent.

Il me semble que de plus en plus de gens ont envie de tricoter, coudre... Les friperies sont réputées et dévalisées. L'armée du Salut, les Petits Riens, Emmaüs, sont à la mode.

Dans les produits Delhaize, il y a parfois moins de conneries que dans les produits dits de marque.

J'ai vu des moineaux en ville.

Les hommes dits politiques sont de moins en moins crédibles, non ? J'ai l'impression qu'on va enfin pouvoir les laisser gesticuler entre eux et passer aux choses sérieuses entre nous.



edit du lendemain matin au réveil : je me disais bien que j'avais oublié plein de trucs ! ça me revient ce matin !

Il y a les petits vieux qui choisissent la colocation plutôt que la maison de retraite (moi qui n'ai jamais fait de coloc', je m'dis que ce sera pour mes vieux jours) et qui jardinent ensemble, se baladent en groupe sur les chemins de campagne.

Il y a un magasin où rien n'est à vendre et tout est à donner (et je crois qu'il existe aussi des vide-greniers comme ça).

Il y a le Bon Coin qui a un succès d'enfer (lisez cet article, il file la pêche !).

A Bruxelles, il y a Precare, qui met en relation des propriétaires de locaux innocupés avec des gens qui ont besoin d'un local pour faire un truc (un atelier d'artiste, une salle de spectacle...).

En Belgique (mais aussi en France maintenant), il y a la Smart, une association qui permet aux artistes de ne pas travailler au noir, d'avoir des droits (les mêmes que ceux de n'importe-quel employé), de payer des impôts, d'être sûrs d'être payés pour leurs prestations, et beaucoup d'autres choses. Ca marche super bien...

Il y a aussi le groupe Google Thalys pas cher, que j'ai testé en tant qu'acheteuse mais aussi en tant que revendeuse de billets, et en fait c'est hyper agréable d'avoir un billet pas cher au dernier moment, et en plus de rencontrer des gens qu'on n'aurait pas rencontrés sinon. L'échange a été plutôt bref mais chaleureux dans mes cas, tout le monde est content. Une fois, un mec m'a même prêté sa carte Thalys pour pas que je me prenne une amende. J'avais été sa femme pendant deux trajets.

Et puis il y a un de mes collègues qui trouve que l'écologie c'est du blabla, et que j'ai vu l'autre jour s'interroger sur la poubelle appropriée pour y mettre sa brique de soupe (vide) (et il l'a mise dans la bonne poubelle).

On peut aussi signer des pétitions en ligne pour le mariage homosexuel (maintenant c'est bon), pour dire qu'on veut un audit de la dette plutôt que l'austérité,  pour protéger les abeilles.

Et puis ça, ça me rend heureuse aussi...

20 février 2013

machine à 60°C du 20/02/2013

CIMG8272

20 février 2013

un été 58, Jean-Paul Nozière (éditions Thierry Magnier)

CIMG8266

J'ai eu du mal à m'attacher à cette histoire au départ, parce que je ne m'attachais pas aux personnages. Et puis finalement...
Il fait chaud, on s'ennuie dans un village perdu. C'est l'été 58. Et Pierrot, le fils des deux instituteurs, très bien élevé et gentillet, devient le fan number 1 du mauvais garçon pas sympa qui est placé en famille d'accueil dans le voisinage. Et en fait c'est un peu l'angoisse...
J'ai bien aimé !



(livre choisi dans le carton de livres proposés par notre ex-proprio)

18 février 2013

machine à 30°C du 18/02/2013

CIMG8262

Publicité
Publicité
1 2 3 > >>
Publicité