Quand nous allons chez les parents de Couacman, nous devenons des nomades du sommeil et nous ne passons pas deux fois nos nuits dans la même pièce. Cette fois-ci, nous avons dormi dans le lit du grand-frère, et j'ai pris en photo le plafond pour la collection, alors que je ne l'ai pas regardé une seule seconde (j'étais bien trop prise par mon bouquin).
ça, c'est un compromis ma bonne dame
Si vous n'arrivez pas à choisir entre confort et exotisme, faites comme nous, installez votre tente sur un lit douillet, chez vos parents par exemple... La fenêtre entr'ouverte pour le petit brin d'air et de frais, les volets ouverts pour être réveillés par le soleil !
et pour ceux qui restent sceptiques, la preuve :
nouveau plafond dans la collec'
Quand on va chez les parents de Couacman, des fois, on dort dans la chambre de sa soeur. Voici ce qu'on peut voir de son lit, du rien, pas de bol vu qu'il y a plein de trucs à regarder partout ailleurs. C'est pourtant là que mon regard se pose quand je ne dors pas, parce que c'est là (à la lisière entre le haut du mur et le plafond) qu'aiment à se retrouver les faucheux dans cette pièce (et en plus, chez les parents de Couacman, les faucheux sont avides de marche à pieds alors il faut les surveiller (au cas où leur prendrait l'envie de faire une petite descente en rappel au-dessus du lit)).
plafond parisien
Tous les soirs pendant ces deux semaines passées à Paris, ma soeur a fermé pour moi le rideau du salon pour que la lumière du lampadaire ne m'empêche pas de dormir. Pour un défaut de tringle que je ne vous expliquerai pas ici, ce rideau ne se ferme qu'en montant sur un tabouret. Pour la photo, prise en quatrième vitesse, aucune de nous deux n'a eu le courage de le refermer.
plafond d'Epron
Tous les matins, je lis tout ce qui est écrit sur chaque affiche, mais à l'envers. David Gerstein devient Divad Nietsreg. A un moment, j'étais tellement entraînée que je traduisais ce qu'on me disait en "à l'envers", dans ma tête.
une collection de plafonds
J'ai commencé il y a cinq ans un carnet de plafonds. Dedans, je mettais des photos de ce que j'avais pu voir au plafond ou sur le haut des murs, allongée dans mon lit lorsque j'étais invitée à dormir chez les autres. J'ai peu à peu arrêté de remplir mon cahier, mais je décide de recommencer cette collection, sur ce blog.
Voici, en premier, ce que je vois quand je suis couchée sur mon lit.