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couac
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couac
27 janvier 2007

le plaisir de boire une infusion après dîner ...

... est quelque peu gâché pour moi par l'habitude idiote de vouloir la boire d'un coup sans reprendre ma respiration. Si je n'y arrive pas, je ne suis pas satisfaite.

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26 janvier 2007

galette des rois

Je me souviens, quand j'étais petite, je trouvais insipide et étouffe-chrétien la galette des rois. Les deux seuls points positifs de ce dessert étaient le fait que je devais aller sous la table pour décider qui aurait quelle part (et je trouvais que c'était un super privilège que d'être assise sur le tapis en me cognant la tête aux pieds de la rallonge qui étaient repliés là-dessous et même, je n'étais pas dérangée par la lourde charge qu'est la responsabilité d'attribuer une part à une personne sachant que les personnes en question savaient très bien quelle part elles voulaient (ce qui donnait à peu près ça :

Maman : "et celle-là, c'est pour qui ?"

Trois voix en même temps : "moi ! moi ! moi !"

Ce qui ne pouvait que me mettre sur la bonne voie : "pour moi !"

(mais des fois, j'étais sympa, quand même, hein !))).

Donc, j'étais folle de bonheur d'aller sous la table et ensuite, j'adorais ouvrir ma part comme on ouvre un capot de "deux chevaux" pour voir si j'avais la fève (et le pire dans mes souvenirs, c'est que je ne l'avais jamais). Une fois que j'étais bien sûre que je l'avais (ou pas), je ne voulais plus de ma part, berk, c'est dégueu la galette ! (d'ailleurs, je crois que je n'aimais aucun dessert dépourvu de chocolat)
Mes frères et soeurs étaient comme moi et souvent, ce repas galette des rois finissait tristement puisqu'on faisait tous le gueule, d'autant qu'on était obligés de finir notre part quand même si jme souviens bien.

Et donc, quand j'étais petite, j'avais idée que la galette était un très bon dessert que chez nous les enfants ne savaient pas apprécier, car mes parents adoraient et mes copines aussi d'ailleurs. J'ai gardé cette idée jusqu'à cette année, où j'en ai re-mangé alors que les années précédentes je profitais de mon statut "d'étudiante dans une ville lointaine" pour ne pas être à la maison ce week-end-là pour y échapper. Mais là, c'était peine perdue puisque la maman de J. m'en a gentiment proposé (qu'elle avait faite toute seule avec ses mains) par surprise puisque ce n'était pas du tout la bonne date et que je pensais que cette année encore j'avais réussi à passer outre. Et bien là, oh surprise, j'ai trouvé ça très bon ! Pourtant, j'ai demandé si quelqu'un avait déjà eu la fève (puisqu'elle était entamée), ce à quoi elle m'a répondu que "ouh lala non, pas de fève dans sa galette". Ca ma' étonnée mais puisque c'était bon... J'ai mangé quand même. Ca c'était un dimanche soir.

Le mardi, je suis allée à mon cours de couture et la prof en m'aidant à découper mon drap de laine turquoise m'a demandé si j'avais mangé de la galette des rois. Je lui ai répondu que oui mais qu'il n'y avait pas de fève. Elle s'est arrêtée de couper et s'est assurée d'avoir bien compris :"pas de fève ?!?...". A ce moment, les autres petites vieilles se sont insurgées : "pas de fève dans la galette ?". J'ai eu l'impression que si je leur donnais l'adresse de la maman de J., elles allaient aller lui casser la gueule parce que vraiment, faire une galette sans fève, c'est ne pas respecter la tradition et zut, la tradition, c'est sacré faut pas déconner avec ça. J'étais fort étonnée de cet amour d'adultes véritables pour la fève de la galette des rois, tout à coup, alors que je pensais qu'un vrai adulte aime la galette pour son goût et sa texture merveilleuse.

Et ce soir, re-belote : c'était galette avec la chorale et j'ai vu 60 adultes véritables ouvrir leur part comme autant de petits capots de "deux chevaux". Finalement, y avait pas de fève non plus. Je ne sais plus quoi penser quant à l'intérêt de la galette des rois : fève ou gâteau formidable ? Mon coeur balance.

24 janvier 2007

petite entreprise

C'est nouveau et chaleureux : à la maison à partir d'aujourd'hui top chrono, c'est boulot-goûter-rigolade : on n'a rien trouvé de mieux avec monsieur J. pour se motiver : c'est tellement plus facile et moins triste de travailler quand on n'est pas tout seul ! Il est en ce moment même installé sur ma table de cuisine avec ses feutres, tandis que l'ordinateur sur mes genoux, je peaufine mes projets librairitesques... On a mis le chauffage à 3 et on a allumé quelques petites lumières. Pour nous récompenser nous attendent dans le frigo des raviolis frais au basilic.

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22 janvier 2007

week-end au Havre

Y a pas à tortiller, le week-end, j'aime ! J'ai retrouvé du monde pour vivre de folles aventures in èlèïtch. T. nous est venu de Paris (il a deux amies ici, mais comment fait-il ?), plein de bonne volonté et d'envie de découvrir notre ville. Bon, je dois admettre qu'il est reparti un peu choqué après que son amie M. lui ai fait prendre le bus sans aucun discours préventif pour lui expliquer les cris d'animaux et les coups de frein bourrins (oui c'est comme ça le bus ici messieurs-dames). Le pauvre ne s'en est pas remis et a avoué ne plus vouloir prendre le bus ici... faut dire qu'apparemment, il est monté dans un véhicule gratiné, avec jurons, musiques et doigts d'honneurs aux petits vieux... pas de bol.
De notre côté avec J., on s'est fait plaisir : vendredi soir, on a mangé chez Quick. Samedi soir, on a mangé chez Quick. En fait, on a découvert que ma carte d'étudiante me donne droit à un hamburger gratis... héhé... Du coup, on a gouté tous les "crousti" et on peut vous dire que le chicken et ben c'est le moins bon. Du coup, ce midi, je vais manger de la soupe parce qu'il s'agit de réussir à rentrer encore dans ma robesurmesure. Je dois immédiatement vous rassurer : non non non, Quick n'est pas notre restaurant préféré des préférés, non non non, on ne trouve pas l'ambiance grave kiffante. Oui oui oui, on devait manger vite fait bien fait pas trop loin du Volcan pour aller rapidos à la réouverture de l'ex-agora nouvellement cabaret éléctrique. On a vu plein de concerts dont un vraiment chouette. On a dansé les bras en l'air et tout.
Sinon, on a bu le thé hier dans un salon de thé marocain rue Coty, allez-y ! C'est bon et pas cher et le monsieur est très gentil et on a peur que l'endroit ferme parce qu'on ne voit jamais personne à l'interieur... faut dire que le propriétaire n'est pas doué pour la déco : le napperon en crochet sur le compteur électrique en plein milieu d'un mur complètement vide dans le salon de thé... moui !...

19 janvier 2007

semelles

Quand je rentre chez moi, je regarde presque à chaque fois si mes semelles de chaussures sont plus usées que quand j'en suis partie.

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15 janvier 2007

choses

Et bien voilà, je crois que je suis incorrigible : ce blog a quasi le même destin que tous les journaux intimes que j'ai commencé à écrire : je suis super enthousiaste au commencement et puis pouf, rapidement, le quotidien reprend le dessus et j'oublie complètement d'écrire... mais mine de rien, je suis contente de pouvoir raconter ici des trucs quand j'en ai envie.
Il s'est passé des tas de choses depuis tout ce temps. En vrac :

J'ai passé tous mes week-ends de 2007 à Paris, pour l'instant et je ne me lasse pas. J'adore visiter des expos, les apprécier, les critiquer. J'adore pétasser avec mes potes, raconter des trucs et des machins, ce qui nous travaille de l'interieur, ce qui nous rend heureux, fiers. J'adore revoir des lieux que je n'ai pas vus depuis longtemps. J'adore l'enthousiasme fou que j'éprouve en revenant au Havre, chaque dimanche soir : j'ai des envies folles de création. J'adore le fait que chez M.,L. et N., le matin pour le p'tit dej', ya du nutella et souvent quelqu'un pour aller chercher des croissants ou du bon pain de la boulangerie où avant, y avait un vendeur mignon. J'adore me réveiller tôt et détailler tout ce qui a changé depuis la dernière fois dans la chambre de M.. J'adore l'odeur de Paris, les gens qu'on croise à Paris, les arbres à Paris. En fait, j'adore Paris. J'aime aussi y prendre le bus, surtout pour les longs trajets, y a plein de trucs à regarder par la fenêtre...

Je me suis fait couper les cheveux. Je voulais une coupe longueur genre au carré mais le coiffeur s'est fait plaisir et en un quart d'heure, tous mes cheveux étaient par terre. Au début, ça m'a fait tout drôle mais finalement, je suis super contente, quel bonheur de sentir le vent dans ses cheveux !

J'ai eu 22 ans et un gâteau au gingembre en forme de fleur avec le bon nombre de bougies.

J'ai fait les soldes au Cent'Coty, pas grand chose grand chose, même chez Monoprix j'ai été déçue alors que normalement, chez Monoprix jsuis jamais déçue. Je ne me suis acheté qu'un haut qui ne sert à rien puisqu'il est transparent. Tu parles de soldes d'hiver !... Je me suis aussi acheté un pull noir chez Petit Bateau, je fais dans l'originalité.

Je me suis trouvé une nouvelle grand-mère en la cousine de mon père qui habite au Havre depuis toujours et que je viens à peine de rencontrer. J'ai été amenée à aller chez elle et comme elle est super chouette et qu'on habite juste à côté, on s'est dit qu'on allait se revoir. Elle m'a même donné des charcuteries avant que je parte, dans un alu.

Je n'ai toujours pas fini ma robe drap. je l'ai réessayée et je trouve qu'elle me va à moisir alors je l'ai dit à ma prof de couture et du coup on fait des pinces sur le devant et aussi sur le derrière et aussi à l'encolure pour qu'elle soit plus ajustée. Elle m'a dit que ce n'était plus une robe Burda mais bien une robe sur mesure... hé hé...

J'ai eu la B.O. de Mary Poppins pour mon anniversaire, ça me met d'humeur joyeuse et chantante et remuante dès le matin, c'est extra.

"Voilà quoi !" comme dirait l'autre...

25 décembre 2006

"de l'autre côté de l'eau"

Et bien les voilà les vacances tant attendues. Les trucs et les machins s'enchainent :

Ma "performance-lecture" "façon Brigitte Bardot" s'est très bien passée, pratiquement un quart d'heure à pousser le son de chaque syllabe de mon texte jusqu'à plus de souffle (rien à voir avec Brigitte Bardot, en fait), et j'ai fini super essoufflée et complètement tremblotante mais ravie et émue. Ca m'a transportée et je me suis découvert des limites plus lointaines que ce que j'imaginais (je croyais que morte de trac, j'allais m'évanouir devant tout le monde, ou que j'allais pleurer ou rire nerveusement, mais non).

Ensuite, c'était Noël et les retrouvailles familiales (retour à Caen chez mes parents), on ne s'était pas vus tous les six depuis Noël dernier (qu'on avait fêté le sept janvier, mais quand même). On a joué au Uno, écouté de la musique et ouvert les cadeaux un peu avant minuit...

Et puis maintenant, mes soeurs sont reparties et je suis à la maison et je n'ai presque rien à faire et c'est formidable. Faudrait peut-être que je range ma chambre... ce sera seulement si j'ai le courage (c'est quand même les vacances).

18 décembre 2006

va falloir s'y mettre

Pourquoi est-ce-que je n'arrive à me mettre au travail que lorsque la nuit tombe et que l'école ferme ? Je dois aller continuer mon film cet après-midi mais c'est dur de se lancer, je préfererais rester au chaud et au calme chez moi. En plus, le temps et mon taux de magnesium ne me permettent pas de prendre mon vélo, je vais devoir prendre le bus, berk berk, berk ! Je détèste prendre le bus. A noter, d'ailleurs, le courage d'une dame qui samedi a demandé aux excités du fond d'éteindre leur musique et de se calmer... je rêve de faire ça mais je n'ose jamais alors j'ai apprécié son courage et je me dis que c'est possible de dire ce qu'on pense et de se faire respecter (ils ont éteint leur musique).
Ce matin, j'ai voulu faire prolonger mon temps d'emprunt de livres à la biblio mais c'était fermé... je vais devoir y retourner demain. Sinon, je suis passée chez Nature & Découvertes à propos des mitaines trouées pour mon père et j'ai appris que des moufles-mitaines ont forcément le pouce troué pour qu'il puisse lui aussi être à l'air libre tout comme les autres doigts quand on porte l'objet en mitaines.
Bon, je crois que je vais devoir aller quand même travailler, je ne voudrais pas avoir des boulots pas finis sur la conscience pendant les vacances.

17 décembre 2006

ouf !

Une bonne nouvelle ce soir : le faucheux qui me barrait l'entrée de mon sac à tubes de peinture n'était en fait qu'un imposteur, soit un noeud de cheveux qui trainait par là. Par pure précaution, je l'ai quand même achevé à coups d'aspirateur.

17 décembre 2006

marc lavoine's day

Et ben on peut dire que ce matin, J. et moi, on a inspiré la voisine... Au détour d'une conversation, on a parlé je ne sais pas comment de la chanson "je me sens si seul" de Marc Lavoine et en fait, je l'ai sur mon ordinateur parce que M., la voisine, m'avait demandé de lui graver le cd qu'une de ses copines lui avait prêté. Et donc, ça nous a donné envie de l'écouter pour rigoler en petit-déjeunant et même, on a chanté très fort. Et là, la voisine s'y est mise, bien à fond comme il se doit...

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