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couac

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26 août 2008

faire ses comptes = berk

Aujourd'hui, j'ai fait mes comptes parce que ça faisait longtemps que je me disais qu'il fallait que je les fasse ( je les fais parfois mais pas du tout régulièrement). Tellement longtemps que dans mon portefeuille, j'ai retrouvé des tickets de caisse de 2004. A l'époque, je faisais mes courses au Champion des 3 soleils, à Rennes ; et j'étais partie en vacances en Belgique avec ma copine Pauline. Nous nous étions payé un resto à 21 euros pour deux couverts, à Ostende.
Maintenant, mes comptes sont à jour, ça m'a occupée plusieurs heures et ça m'a enlevé un poids du coeur ! Comme quoi, j'ai vraiment le coeur surchargé de trucs et de machins, de n'importe-quoi que je ne soupçonne même pas.

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24 août 2008

bon jour

Le dimanche, c'est forcément super puisque c'est le premier jour de week-end de Couacman. Le samedi dans la nuit, quand il rentre du boulot et que nous savons que nous avons deux jours et surtout deux soirs pour nous devant nous, la vie est belle. Voilà comment le dimanche, mon jour le plus détesté jusqu'ici (avec le jeudi. Je ne sais pas pourquoi mais le jeudi, durant toute ma scolarité, a souvent été une journée de merde : le jour où j'avais sport ET dictée, par exemple), à cause de la messe qui fait qu'on est obligé de se lever tôt et de s'habiller vite, et de Benny Hill le soir et après c'est les dents, pipi et au lit, est devenu mon jour préféré (avec le mardi et le vendredi).
Ce matin, nous avons entamé la journée par notre footing dominical et on a eu du bol, il ne pleuvait pas. Comme les fois précédentes, je n'arrivais à rien (genre : le footing qui dure en tout 5 minutes, et en faisant une pause au milieu (mais j'étais MORTE au bout de ces cinq minutes !), j'ai décidé d'emmener mon i-pod, et de courir le temps d'une chanson, puis de marcher une minute, et ainsi de suite le temps de trois chansons. Et bien ça a marché du tonnerre, enfin ! J'ai réussi ! Grande victoire. La musique change tout, je ne m'ennuie plus. J'ai entendu Lucy in the sky with diamonds, Love is all et J'ai 10 ans, ce qui au total nous donne un footing de 9 minutes 43 (j'ai fait le calcul en regardant la longueur des chansons sur i-tunes en rentrant). Je suis contente. Niveau souffle, j'ai quand même l'impression que je vais mourir. D'ailleurs, ce soir, je n'en suis pas totalement remise, j'ai une douleur poitrinaire (comme Sissi (impératrice, pas Minanaä)).
Bon, bref, quand même, je suis contente.
Sinon, nous avons visité le quartier Saint-Boniface et c'était joli, vraiment très joli. Comme nous étions congelés, nous sommes rentrés à la maison et Couacman nous a préparé des chcolats chauds incroyables : légèrement parfumés à la vanille, un peu crémeux, avec du vrai chocolat fondu dans du lait, et avec dessus une chantilly qu'il a faite lui-même quand j'avais le dos tourné, et des copeaux de chocolat... C'était le meilleur chocolat chaud que j'avais jamais bu.
Et il accompagnait à merveille les petits sablés façon Ginette Mathiot que nous avons fait hier !

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15 août 2008

diner de restes

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15 août 2008

François et Xavier

14 août 2008

Basile et Monique : séparés !

Monique, belle plante, a attiré une horde de pucerons.

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Nous espérons que la séparer de Basile (d'à peine un mètre seulement, certes) suffira à épargner ce dernier...

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13 août 2008

envies

Je trouve qu'il est important de savoir de quoi on a envie, à moyen et à long terme. Je me dis ça parce que depuis que je suis à Bruxelles, mes buts et désirs sont devenus un peu flous et c'est très angoissant. Avant, je désirais pour ma vie certaines ambiances, des choses difficiles à expliquer mais des sentiments déjà éprouvés de chaleur et de bien-être que je projetais de retrouver et que je croisais parfois, ce qui me plongeait directement dans un état de grand bonheur.
Aujourd'hui, j'ai un peu perdu ça. Je voyais le monde de la création comme un monde rigolo et coloré, joyeux et enthousiasmant, et surtout léger. Maintenant, il me paraît féroce, emprisonnant, accaparant.
Je n'ai pas dessiné ni rien fabriqué durant mes deux premiers mois de vacances (sauf les étiquettes de pots de confiture) et ça ne m'a pas manqué une seule seconde. J'ai même eu l'impression que je n'en étais plus capable, que j'avais perdu toutes mes idées. D'ailleurs, j'ai encore un peu ce sentiment de n'avoir plus rien à raconter (d'où mes absences bloguesques). Je me sens vidée. Je pense que ma formation en illustration m'apporte beaucoup d'un côté, mais je sens aussi que j'y laisse des plumes et que je n'y suis ni épanouie, ni heureuse. Pourtant, je suis arrivée en illu super ravie à l'idée de produire de belles images, d'écrire des histoires (parce que normalement, j'aime ça)... et petit à petit, alors que les choses ne se passaient même pas mal pour moi, et bien l'envie et la légèreté se sont barrées et il ne me reste plus que la pression, le sentiment de ne jamais travailler assez (mais n'en déplaise à ma prof, je crois que je ne pourrais jamais travailler jours et nuits et consacrer ma vie entière à mon travail). Si un élan me pousse à m'asseoir face à une feuille blanche, mon crayon à la main, et bien je suis découragée avant même d'avoir tenté d'y faire un dessin.
Je me demande si l'envie va revenir et je croise les doigts. Hier et aujourd'hui, j'ai eu envie de dessiner ce qui m'a enlevé un énorme poids du coeur. Mais je ne suis plus jamais satisfaite de ce que je fais. Ca ne raconte pas assez de choses, c'est du déjà-vu, c'est moche...
Alors je m'efforce de relativiser, de penser qu'avant cette école, je vivais déjà et pas plus mal, qu'il faut que j'y prenne ce que je peux y prendre mais en travaillant pour moi, pas pour mes profs. Vivre ma vie et que l'école en fasse partie parmi d'autres trucs, et non pas considérer qu'en tant qu'étudiante, ma vie, c'est l'école. Je dois surtout éviter un maximum d'être trop scolaire. Je dois aménager un emploi du temps qui m'est propre, qui comprend les horaires de l'école mais qui y ajoute des petites choses à moi, des footings, un après-midi par semaine de temps libre, quelques heures pour poursuivre ma démarche plastique...
Et déjà, je suis rassurée. L'école aura de mon temps, mais pas tout. C'est à moi de m'organiser pour travailler le mieux possible, pas à mes profs de m'imposer un temps de travail, ou une manière de travailler. Non ?

Et là, présentement, comme je suis encore en vacances, j'ai envie : de voir du monde, de faire du jardinage, de marcher dans la montagne, de caresser des petits veaux dans la campagne havraise, de lire au soleil, de ranger et de nettoyer, de tapoter le sable mouillé de la paume de ma main (ça fait "flop flop"), de faire un trajet Le Havre/Caen en car en passant par la côte...
En fait, il va peut-être falloir que je parte un peu en vacances ! ;-)

13 août 2008

un habitué

Tous les soirs en ce moment, il y a un arc en ciel.

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13 août 2008

Basile et Monique

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12 août 2008

le but

Hier, motivés pour une balade mais en manque d'inspiration, nous avons choisi d'aller jusqu'au bout de la ligne de pré-métro numéro 4, au terminus nommé Stalle P. Nous avions lu dans le ELLE belge qu'il y avait un supermarché italien... Nous y avons fait le plein de charcuteries, de nouilles (des "petites oreilles", Marie !), de biscuits au café et à l'amaretto, de thon. Et le soir, c'était festin !

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Italia Autentica, 257 chaussée de Ruisbroek, 1620 Drogenbos

12 août 2008

le temps qui passe

Ouh la la oui, le temps passe et je n'écris plus ici. C'est qu'à la place, je médite (ben oui). Je ne sais pas où ni comment mais j'ai abandonné ma culpabilité (de passer mes vacances à ne rien faire) à un moment indéfini, et depuis, les envies reviennent. Je ne le dis pas trop fort de peur qu'elles repartent comme elles sont venues.
J'ai lu Jane Eyre de Charlotte Brontë, et Rebecca, de Daphné Du Maurier, et j'aime toujours. Ca m'a fait un bien fou de me plonger dans ces histoires.
Le mois d'août est donc jusqu'ici très très paisible. Je visite doucement Bruxelles et m'y attache de plus en plus. J'aime l'idée qu'on peut vivre dans une capitale, et dans une belle maison en même temps. Et les plantes grimpantes dans la rue, je trouve que ça tue tout ! Pas vous ?

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