Je vous écris depuis ma pause déjeuner. Dans un
Je vous écris depuis ma pause déjeuner. Dans un instant, je vais aller faire cuire des oeufs sur le plat et les déguster avec du pain aux céréales et peut-être du beurre mais pas sûr.
Tous les matins, quand mon réveil sonne, j'ai la trouille de ne pas réussir à me mettre au boulot, de me laisser dépasser par les évènements. Je repense à combien j'ai eu du mal à me bouger les fesses ces trois dernières années et je me dis "hier, ça a été, mais aujourd'hui, est-ce-que ça va continuer ?". Et tous les jours, j'y arrive sans perdre de temps. Il est 9h, hop, je me mets au boulot. Je n'en reviens pas moi-même. J'arrive à travailler alors que je suis chez moi et que je pourrais faire mille autres choses, même la vaisselle, tiens. Et bien non, je bosse ! Incroyable. J'espère que ça ne va plus jamais s'arrêter (sauf le week-end et après mes heures de boulot, quand même).
Aujourd'hui, je refais la maquette du dernier boulot que j'ai fait à l'école, en ce début d'année 2010. Ce qui est agréable, c'est que j'écoute de la musique très fort en même temps, toujours la même depuis des mois d'ailleurs, je suis très fidèle en musique. Le cd que j'écoute est une "compil' des Inrock's", avec Jérome, on l'appelle "le cd numéro 4" parce qu'il fait partie d'une pochette où ils sont 6. Je luis dis "on met le cd numéro 4" ? et il sait directement ce que je veux écouter.
Il y a tellement peu de voitures qui passent dans notre rue que lorsque par hasard il en vient une, soit c'est la nuit et ça peut éventuellement me réveiller, soit c'est le jour et je me demande ce que j'entends et ce qu'il se passe. C'est parce que la rue est pavée.